Souvenirs de 1948 à 1955 par Pierre Lasserre

Ce site arrive bien. Je recherchais des camarades des années 1948-1955. J’ai gardé un souvenir ému de quelques grands enseignants, comme Henrion, en anglais, ou Limoux en Maths (j’ai une hésitation sur son nom), et de nombreux amis qui ont égayé ces années et enrichi ma culture.

Je regarderai si j’ai des photos contemporaines.

Pierre Lasserre

Découverte heureuse

Après quelques semaines d’une interruption causée par une grosse attaque virale sur mon PC je découvre le site. Félicitations aux réalisateurs. Toutes mes amitiés à l’équipe. A+

Yves de La Bussière
yves.delabussiere@wanadoo.fr

On a retrouvé la professeure paranoïaque

(A propos de la professeure paranoïaque, qui faisait déposer les cartables au fond de la salle à chaque interrogation)

Bruno il s’agissait de Madame Gourion si mon neurone est encore au point… Je suis sortie de Hoche en 88 le nez au vent et les mains dans les poches…

Caroline Blavier

Appel promotion 1957

Je suis un très ancien (bac sciences exp. 1957) et j’aimerais bien retrouver des amis de l’époque : Tillous-Bordes, de Tocqueville, Jordan, Stazowski, Rastouille etc. Si l’annuaire était sur le web cela simplifierait les choses . Si un survivant me lit, qu’il me contacte sur jp.laboureau@wanadoo.fr, on pourrait évoquer de vieux souvenirs et plus… si toujours affinités !!

Jacques-Philippe Laboureau (1957)

Nostalgie des années 1960

Maintenant devenu un très ancien élève (1ère en 68-69 et terminale D en 69-70), et ayant quitté la région depuis longtemps, je ressens une étrange nostalgie de ces années d’un autre monde. Je souhaite et crains à la fois d’avoir des nouvelles de mes anciens condisciples perdus de vue : le temps a fait son oeuvre pour tous, sans doute. Si quelqu’un le souhaite, n’hésitez pas pour autant à laisser un message. Quant aux professeurs, je garde un souvenir reconnaissant pour la prof de maths de 1ère, Mme Le Feuvre. Pour le reste, un lycée de garçons de 3000 élèves (à l’époque), c’est tout de même monstrueux.

Quant à la chapelle et à la réfection des locaux, je serais enchanté de contribuer à ma modeste mesure pour autant que la Région et les autorités compétentes montrent qu’elle assument leur devoir de protection du patrimoine et de maintien de conditions décentes d’environnement pour les élèves ! Y a-t-il un projet précis et chiffré ? J’ai connu les préfabriqués puants implantés non loin de l’internat, n’aurait-on fait aucun progrès ?

Jean-Didier Bardy (1970)