Martial Fabre, élève à Hoche entre 1963 et 1971, transmet à l’association une biographie du général Hoche rédigée dans le cadre des manifestations du bicentenaire de sa naissance en 1968.
Souvenirs des classes primaires pendant la Seconde guerre mondiale
Philippe Chaminade, élève à Hoche entre 1942 et 1951, nous fait partager certains de ses souvenirs des classes de primaire au lycée Hoche. Il évoque particulièrement la 8e de 1942-43 et la 7e en 1943-44, avec des professeurs d’école remarquables (on disait à l’époque « instituteurs »): Mme Dixmier (qui officiait déjà en 1936-37) et M. Tonneau (passé au collège au moins en 1958).
Conférence de Luc BLANCHET, Directeur de Recherche au CNRS, ancien élève de l’Ecole Polytechnique, au lycée le 23 janvier 2018 – L’Astronomie des Ondes Gravitationnelles
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Des timbres sur le général Lazare Hoche

Martial Fabre (1963 – 1971), administrateur des anciens de Hoche, a retrouvé dans sa collection des timbres célébrant le général Hoche.
Louis-Lazare Hoche, né le 24 juin 1768 à Montreuil près de Versailles et mort le 19 septembre 1797 à Wetzlar (Hesse), est un général français de la Révolution.
Son père est palefrenier à la vénerie du Roi et sa mère Anne Merliere. Il est Baptisé à la cathédrale Saint-Louis de Versailles, son parrain est Lazare Moulin, épicier et sa marraine est Marie Agathe Coispeau, épouse de Jacques Duhamel.
A 14 ans, il est reçu aide-surnuméraire dans les écuries royales. Devenu orphelin, il bénéficie de l’aide que lui offre une de ses tantes, fruitière à Versailles, et achète quelques livres avec lesquels il fait lui-même sa première éducation. Consacrant le jour à son travail, il emploie une partie de la nuit à étudier. À 16 ans, le 19 octobre 1784, il s’engage comme soldat, il est admis comme simple fusilier dans les Gardes-Françaises dans la compagnie Colonelle le 23 novembre 1785, il est grenadier de la compagnie de d’Artaignan et le 16 mai 1789, il obtient le grade de caporal des grenadiers de Daucourt. Il ne tarde pas à attirer l’attention de ses chefs, par la régularité de ses mœurs, son application à la lecture et sa prodigieuse activité.
Mai 1968 au lycée Hoche
Michel Rémond (bac en 1968) a retracé ses souvenirs du printemps 1968 dans son ouvrage : « Michel Rémond – à Hoche en 68 – témoignage ».
Comment réconcilier des visions antagonistes…
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Article paru dans Le Parisien du 11 mai 2018
Article paru dans Toutes les nouvelles du 9 mai 2018
Une place Raymond Aron à Versailles

La place située à la jonction de l’avenue de la Maye, de l’avenue de l’Amiral Serre et de la rue Henri le Sidaner sera dénommée « Place Raymond Aron ».
Raymond Aron (14 mars 1905 -17 octobre 1983) éminent intellectuel, philosophe, sociologue, politologue, historien, journaliste et membre de l’Académie des Sciences morales et politiques, a passé son enfance à Versailles. C’est entre 1913 et 1915, que sa famille fait construire une maison en pierre meulière à la suite du lotissement du domaine de Glatigny, non loin du Château de la Maye. Raymond Aron y grandit avec ses deux frères. Il fréquente ainsi le lycée Hoche, de la classe de huitième à celle de philosophie, où il fait de brillantes études et obtient en 1922 son baccalauréat « philosophie » avec la mention très bien.
Pour lire l’ensemble de la délibération du Conseil Municipal de Versailles du 14/12/2017, cliquez ici.
La chapelle du lycée Hoche accueille à nouveau les Anciens
Merci à Michel Bancal (1972-1977), Louis-Aimé de Fouquières (1967-1977) et Philippe Capelle (1951-1963) pour avoir organisé une messe des Anciens le 25 novembre 2017 dans la magnifique chapelle du Lycée Hoche.
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Photos prises par Stéphane Gourichon (1992-1995)

