Avis de recherche de prof de maths

Entré à Hoche en octobre 60 pour en ressortir en juin 71, je paierais une fortune pour retrouver la trace de M. (Prénom ?) Goussaud (orth. ?), prof de maths en 2nde /1ère au milieu des années 60. Il me semble me souvenir qu’il a ensuite quitté Hoche pour Paris. Si quelqu’un a une piste…

Amicalement,
Etienne Vicariot, etienne.vicariot@wanadoo.fr

Le talent et la science des profs

Entièrement d’accord avec Gilbert Guislain, dont la réussite est exemplaire ! Les élèves reçus au bac malgré des aptitudes limitées le sont grâce au talent et à la science (au sens étymologique) de certains « profs ».

Banzaï

Trous de mémoire

Au lycée de 1985 à 1987 (Bac D), seulement il y a 20 ans, mais j’ai des trous de mémoire… J’aimerais avoir des nouvelles de M. L’hote en particulier. Je me souviens de M. Diagana (francais, latin), Mme Molina (maths), le prof de russe dont j’ai oublié le nom, M. Portier (anglais ?)… C’est tout ?

Si quelqu’un se souvient de moi ou de cette époque…
Please…

Laurent Patouillet
e-mail: lolpatjp@ybb.ne.jp

Emotions de 1972 à 1979

Bonjour à toutes et à tous !

Je suis heureux de parcourir à loisir les quelques lignes que vous partagez sur les souvenirs que vous a laissé ce bel établissement…

J’y ai sévi de 1972 à 1979 et c’est avec émotion que je retrouve des noms connus : Martin prof de philo, Rostanne de maths, Gillier d’anglais (« la plus belle classe du lycée » !!!) et autres: Loubignac, Croutzet, Burnichon and so on.

Je suis toutefois étonné que personne ne tresse de louanges à ce cher M. Texier prof de maths au béret et terreur des terreurs…

Si vous souhaitez correspondre, je vous laisse mes coordonnées :
jerome.vialar@wanadoo.fr

Alors à bientôt !

Jérôme Vialar

Merci à Martial

Merci à Martial Fabre pour ses informations et jugements pertinents qui recoupent les miens en tous points . Voilà  une contribution efficace qui sera utile a la rédaction des souvenirs, laquelle suit son cours.

Gilbert Guislain (64-71)

Palmarès des profs de Martial Fabre

Comme promis dans le précédent message, voici quelques informations concernant mes années passées au lycée de 1963 à 1971.

Pour la 6ème (1963-1964) et la 5ème (1964-1965), vous pouvez vous reporter à mon intervention du 8 juillet 2006.

Pour ce qui est de la 4ème B5 1(965-1966), les professeurs étaient:

  • Mr André (Surnommé Dédé Chloroforme, à cause de sa capacité à endormir les élèves pendant ses cours), prof de français et de latin.
  • Mme St Paul (prof d’anglais).
  • M. Manier (prof d’espagnol). Très bon professeur de grammaire espagnole, mais pour l’oral c’était plutôt décevant d’apprendre avec un professeur doté d’un fort accent de la banlieue parisienne!!!!! Je l’ai eu de la 4ème à la terminale, c’est pourquoi vous comprendrez que j’ai eu 8 au Bac en matière facultative, heureusement.
  • M. Soulier (prof de maths, mari de Mme Soulier prof d’anglais au lycée, doté d’un accent très prononcé originaire de l’Ariège, très sévère, très exigeant, mais tellement bon professeur qu’il m’a donné goût aux mathématiques (Théorème de Thalès, équations, … et surtout géométrie).
  • M. Brizay (prof d’histoire-géographie, ancien aviateur rescapé de la 2nde guerre mondiale). Il prenait beaucoup de libertés avec le programme officiel, mais il était si passionnant lorsqu’on prenait la peine de l’écouter. Dommage qu’il ne sût pas intéresser les élèves à son cours qui n’hésitaient pas à le chahuter, parfois de façon très virulente!!!
  • M. Simandoux (prof de sciences naturelles). Maintenant on doit appeler cette matière « biologie ».
    Il était surnommé Ramsès II par les élèves à cause de sa pomme d’Adam très prononcée et de sa silhouette particulière et typique de l’époque des pharaons.
  • Mme Croutzet (prof de musique). Très bon professeur, mais qui n’a jamais réussi à me faire chanter, car j’ai (toujours) une voix de casserole!!!
  • M. Guitet (prof de dessin et artiste). Bien que n’étant toujours pas un artiste peintre, il a révélé en moi un goût prononcé pour la peinture.
  • M. Martin (prof d’éducation physique): RAS.

Sans oublier le célèbre pion de la salle de permanence n°44, M. Subra, qui a marqué toute une génération d’élèves, surnommé « Bouledogue », à cause de son faciès et de sa propension à aboyer après les élèves terrorisés à l’idée de passer deux heures de permanence dans un silence monacal, sans pouvoir remuer une page de livre, au risque de se ramasser directement un avertissement (sans passer par le devoir-retenue), voire 4 heures de colle!!!!

Voilà quelques souvenirs concernant les professeurs. En ce qui concerne les élèves, il me reste quelques nom en tête:

MASSIAS, LE NOA, SOULIE, CAVAILLON?, GAYER?, CANDELA, VIDAL, VULBEAU, BLIN, FOURNIOL,…

Si vous retrouvez des souvenirs de cette classe et de cette époque, vous pouvez me contacter :
martial.fabre@wanadoo.fr

A bientôt sur le livre d’or.

Toujours à propos des profs

>> Il faut savoir dire la vérité aux élèves et non les endormir d’illusions.

Bien sûr, mais les notes sont suffisantes pour ça. Et si un prof pense qu’un élève est vraiment en train de souffrir de trop d’illusions, à quoi sert-il de le décourager plus que les mauvaises notes ne le feront? A quoi sert-il de le mépriser et de l’humilier devant sa classe? Il n’y a pas de but légitime. Il n’y a pas d’excuse. Et si il faut absolument expliquer que tel sujet n’est vraiment pas pour un élève, on peut le faire gentiment. Et puis, on ne sait jamais, parce que certains élèves s’épanouissent un peu tard.

Les adolescents, surtout les jeunes hommes, ne travaillent pas assez parfois, pour des raisons diverses. Des mauvaises notes d’occasion ne les transforment pas en élèves incapables. Je trouve que certains profs sont très vite à décourager les élèves et essaient rarement de les motiver.

Et non, je ne suis pas de ceux qui croient que n’importe quel élève peu réussir en n’importe quel sujet. Pas du tout. Mais pourquoi contribuer a l’échec d’un élève en le découragant et en l’humiliant? Et même si on est sûr qu’un élève ne sera jamais bon en maths, au lieu de le dégoûter du sujet, pourquoi ne pas l’encourager, pas avec l’espoir qu’il deviendra un grand mathématicien, mais simplement avec l’espoir qu’il apprendra et comprendra un peu plus le sujet.

Adour (1984)