Retrouver la trace de copains de classe

J’ai fait mes classe prépa à Hoche entre 73 et 75. Je suis reconnaissant à tous ces professeurs et camarades qui m’ont finalement permis d’intégrer HEC. Je serais heureux de retrouver la trace de mes copains de prépa que le temps à éparpillés, et en particulier Magali Pacaud ma voisine de classe pendant toute une année. Merci à celui ou celle qui me donnera une piste.

Denis Berthon

Reformulation

Je viens de lire le dernier message… où j’ai perçu du jugement (« maturité »), c’est pourquoi j’ai relu mon message, il y avait également beaucoup de jugement sur ce professeur, ce qui a pu blesser les personnes qui l’ont appréciée, et j’en suis désolée. Je suis jeune c’est vrai (26 ans), je ne peux pas mentir sur une expérience de vie que je n’ai pas. Je reformule donc mes propos: l’enseignement de Mme Noir ne me convenait absolument pas. Nous nous construisons chacun avec nos expériences, la maturité peut venir très tôt, selon ce que l’on vit… on le sait bien chacun au fond de nous.

Amicalement,
Anne-Laure

Des noms qui reviennent

A nouveau sur ce site, je découvre à quel point finalement, je n’oublie pas ces années passées à Hoche entre 69 et 77… Les noms des profs reviennent, Jeufroy, Martin, Perrot, Portier, Péchenard, Bergeron, Croutzet, et sûrement pas mal d’autres que j’oublie à l’instant. Beaucoup, la plupart ont laissé une empreinte positive, qu’ils en soient remerciés. Si d’aucun se souviennent de mon nom, ils peuvent me joindre à dufourcq.dya@orange.fr

Denis Dufourcq

Un peu de maturité !

Je pense que sauf exceptions les discussions et jugements de valeur à propos de la qualité de tel ou tel professeur sont forcéments biaisées, donc sans intérêt. Merci au passage à Adour de nous avoir rappelé la définition d’une majorité….

J’ignore l’âge des intéressés (Adour, Anne-Laure etc.) mais reste convaincu qu’un peu de maturité serait la bienvenue…

Pour changer de sujet, ayant dû quitter prématurément la dernière AG, j’ignore si des réponses ont été données à propos de la photo du dernier N° de « L’ancien ». Ayant fréquenté le lycée de 1945 à 1952, je n’ai guère pu reconnaître que quelques professeurs « âgés » en 1964, soit selon moi et au 1er rang (4ème à partir de la gauche et suite) MM. Pfister (pas sûr à 100%), de Crozant, Ithurbide et Lagny. OK?

A bientôt.

Jean-François Mollard

A propos de la régulation

>> Pour la première fois depuis l’ouverture de ce livre d’or,
>> il y a cinq ans, j’ai été obligé d’en retirer un message en raison de son contenu.
>> (avis négatifs a propos de [professeur X.)

Est-ce que cela était vraiment la raison? Majorité veut dire simplement plus que 50%, et plus que 50% des avis a propos de X n’étaient pas des compliments. Donc, on conclut que c’était une remarque a propos d’un autre prof Y qui a causé le retrait du message, n’est ce pas prof Y?

Adour

Souvenirs bons et mauvais

Je lis les témoignages de chacun. J’ai de l’amertume en repensant aux sept années passées à Hoche. L’humiliation que peuvent exercer certains professeurs: Mme Noir notamment et cette phrase dont je me souviens « tu n’y arriveras jamais ». Comment peut-on dire ça à un élève en début d’année? Comment peut-on le faire craquer en restant derrière lui en lui faisant des remontrances durant un exercice jusqu’à ce qu’il pleure?

Je ne pense pas que ce soit ça être bon pédagogue, dommage… Je n’ai pas aimé les mathématiques avec vous Mme Noir. Et j’ai mis du temps à reprendre confiance en moi.

Maintenant j’en fait mon métier, redonner confiance aux gens, je suis infirmière en psychiatrie et j’adore mon métier.

Mais tout ceci est mon expérience.

Cela ne m’empêche d’avoir aussi de bons souvenirs à Hoche, et d’avoir adoré certains profs: M. Morin, M. Cartier.

Anne-Laure

Comment sont entrés à HEC pour la première fois des prépas de Hoche

Après la Deuxième guerre mondiale, la classe préparatoire aux grandes écoles commerciales n’arrivait pas à intégrer d’élèves à HEC. M. Sire, le proviseur de l’époque, tenait absolument à ce que des élèves de son lycée intègrent la prestigieuse école.

L’année 1951-1952, il a mobilisé des moyens importants à cette fin. Notamment, alors que les élèves devaient normalement rejoindre l’internat pour 21h, il prévoyait un en-cas nocturne aux élèves qui bûchaient tard dans la nuit. Ceux-ci avaient droit, vers une heure du matin, à des sardines ou du saucisson…

Cette année-là, cinq élèves ont inauguré le palmarès des anciens de Hoche passés par HEC : Claude Asselin, Baudru (il était chef de classe), Raymond Danziger, Michel Montel, Jean Régnier.

Quatre de ces élèves sont connus de l’association. Plus de cinquante ans après, ils se rappellent l’intérêt que leur portait M. Sire, ce qui les a évidemment fortement motivés et a déterminé leur carrière.

L’excellence, ce n’est pas simplement un recrutement élitiste. C’est aussi et surtout l’engagement du corps professoral et éducatif au côté des élèves pour augmenter leurs chances de réussite, ce qui contribue à la valeur ajoutée d’un établissement.

Raymond Danziger