Je recherche les traces du passage de mon père, Roger Munich qui aurait fréquenté ce célèbre lycée [Hoche] dès les années 1923 à 1924.
Remerciements anticipés
Marie-Christine Pinot, mcpinot74 [at] orange.fr
Association des anciens du lycée Hoche (Versailles)
Je recherche les traces du passage de mon père, Roger Munich qui aurait fréquenté ce célèbre lycée [Hoche] dès les années 1923 à 1924.
Remerciements anticipés
Marie-Christine Pinot, mcpinot74 [at] orange.fr
M. Loïc Toussaint de Quièvrecourt, proviseur du lycée Hoche, a reçu la Légion d’Honneur le 6 juillet 2011, au lycée. Quelques photos sur notre page Facebook.
Une amie née en octobre 1921 a été élève en 6e en 1932-33. Elle dit que les filles étaient admises en 6e seulement.
Mon grand-père faisait partie des victimes du 24 juin 1944. Ma grand-mère a reconnu son corps dans la cour du lycée Hoche accompagné de son enfant unique, mon père âgé de 12 ans. Voilà son histoire.
Mon grand-père a été réquisitionné par les Allemands. Il devait remplacer ce jour là une personne malade. Il travaillait aux usines Renault et il devait apporter la paie des ouvriers sur le chantier de la Gare. Il y a eu une inversion de trains. Les alliés en avion ont bombardé les trains de civils et non les trains remplis de munitions et autres armes allemandes.
Limbert
Ils étaient trente de la promo 2001 à se retrouver au lycée samedi 11 juin 2011, dix ans après leur bac. Ils ont visité les bâtiments refaits. Comme ils nous le disent, « le lycée a beaucoup changé et le résultat est magnifique. Il fait bon être lycéen en 2011! » En tout cas, rendez-vous est pris pour un nouveau rassemblement dans dix ans.
Si vous aussi vous souhaitez organiser un rassemblement de promo avec visite, contactez l’association.
Témoignage de Rachid Adda, conseiller régional d’Ile-de-France
Un grand bonjour à tous.
Je profite de ce « forum » pour rendre un hommage particulier à tous mes profs de sup et spé (HX2, les dieux en 86 puis XM en 88-89). Eh oui, 5/2 !
En particulier madame Rosier, prof de physique exceptionnelle (diantre !); madame Banse (mamy); sans oublier monsieur Pajot, notre prof de français, et madame Kirgo notre prof d’allemand.
Puis madame Ruget, prof de spé.
Sans oublier ce cher monsieur Dupinay qui doit se souvenir de cette première promo qui a bénéficié du nouvel internat. Un grand hommage à Odette Christienne, ancienne proviseure du Lycée qui a en grande partie fait entrer Hoche dans la cours des très grands, et son successeur Monsieur Mosser.
Et bien entendu tous mes condisciples dont beaucoup sont encore aujourd’hui parmi mes plus proches ami(e)s.
Je n’oublie pas non plus les profs des autres classes (HX1 divins, HX3 les rois) que l’on redoutait en Khôlles comme M. Soladié et M. Cuenat, sans oublier M. Lanoizelée. Ils ont contribué fortement à ce que nous sommes aujourd’hui, au delà même de nos réussites professionnelles particulières. Ce lycée nous a permis notamment, par l’internat, à forger des valeurs de solidarité, de respect, de partage d’un même destin malgré nos origines diverses (sociales et ethniques), d’entraide malgré les enjeux pour chacun et même malgré la concurrence. En ce sens, le lycée Hoche est ce que la République fait de mieux quand elle respecte sa propre exigence, celle de la méritocratie.
Rachid ADDA, dit bizuth 14
ancien prépa Hoche 86-89
Conseiller régional d’Ile de France
Un clin d’œil à Yves David qui me parlait de Mlle Fréau, excellente prof d’anglais, qui avait une sœur également professeur au lycée. Enfin mes neurones se sont décoincés et son nom me revient: Mme Goujon, qui nous a appris les matrices, les limites et les probabilités en 1e S1 (en 1972-73).
Louis-Aimé de Fouquières